Lavi Bookman -[j'écris l'histoire avec mon sang, mon encre ]-

Nom : Renié
Prénom : Lavi
Âge : 18 ans
Origine : Inconnu, ou plutôt, trop de différentes origines coules dans ses veines pour lui en imposer une.

Groupe : Exorciste
Rang :Héritier Bookman
Expression fétiche :Je couche l’Histoire sur papier, je n’en fais pas parti.
Autres :

Qu’elle est l’utilité d’un miroir. Pour moi aucune. Lorsque que je regarde dans cette glace qui me revoit mon image, ce n’est pas vraiment moi que je vois. C’est bien mon visage, mais une simple copie. C’est le 49ème moi que je vois. Un masque, figé sur mes traits jusqu’au bout de cet enregistrement. Je ne suis personne, simplement une multitude de masque qui se suit les un après les autres. Je ne suis pas acteur de l’histoire je ne suis qu’un narrateur aux multiples visages changeant selon le lieu ou je me trouve. Devant moi me renvoyant mon regard émeraude se trouve Lavi, Le numéro quarante neuf. J’ai programmé Lavi pour qu’il soit sociable, à l’aise avec les gens. Je voulais qu’il soit un garçon amical, sûr de lui, une source de joie de vivre. Je l’ai imaginé quelque peu puéril, son penchant pour les plaisanteries, et les farces idiotes. Peut-être voulais-je lui inculper le complexe de Peter pan. Ca me semble légitime. Il est plus simple de se cacher derrière un comportement enfantin pour lutter contre le fardeau qu’est celui de bookman. Il est bien plus simple de tout cacher derrière un sourire de gamin enjoué. Malgré Tout, Lavi à hériter de mes convictions, ma détermination. Lavi as été créé pour tenir bon, de savoir quand et ou il peut s’amuser et quand est-ce qu’il doit devenir sérieux. Ce nom je le travaille encore. Mais peu à peu il m’échappe. Il prend de l’ampleur, envahit mon esprit, j’en ais perdu le contrôle. Lavi est vivant. Il n’est plus qu’une simple donné, mais un autre moi à part entière. Il me fait douter, moi, l’héritier Bookman son créateur. J l’ai laissé s’attacher et je suis à présent enchainé. Je dois me débarrasser de ce nom au plus vite. Avant que je n’arrive à un point de non retour.

Mais il est coriace, et peu importe ce que j’essaye de faire Lavi reprend le dessus, mes amis… non ses amis. Il peut donner sa vie pour eux, mais Lavi si tu meurs de cette façon moi aussi je disparaitrais. Nous sommes deux, mais nous ne sommes qu’une seule personne en même temps. Lavi arrête de me gêner, tu nous mets en péril avec tes sentiments, ton attachement pour tes amis, Bookman à raison et tu le sais. Tu n’es plus neutre dans cette guerre. Reprend toi Lavi, regarde toi, là dans ce miroir, que vois-tu Lavi. Crois-tu être digne de ton héritage dans cet état ? Je n’ai pas de cœur, pas de sentiments, j’ai perdu foi en eux, alors pourquoi Lavi, es tu si différent ? mon Quarante neuvième noms, quand est-ce que ton cœur s’est réveillé ? Mais peu importe. nous allons devoir faire un choix. Toi ? ou moi.

Je me tenais debout, droit, immobile, du haut de mes 1m77, face à ce vent qui se déchaînait contre mon corps mince, s’écrasant avec force contre mes côtes. Ma chevelure formée d’épis rouge, épaisse, ondulait à un rythme rapide et désorganisé, révélant mon unique prunelle, émeraude, qui observait le paysage lointain. Ma main droite vint effleurer le bandeau noir qui cachait une de mes iris, puis les fils noirs qui encadraient la seconde émeraude avant de venir caresser mes lèvres fines qui s’étiraient en un sourire serein. La vie est trop courte pour être gâchée, non ? Alors pourquoi ne pas la vivre heureux ? Ma main droite se glissa à ma cuisse droite, frolant le bout en croix de mon innocence, et la stabilisa bien dans sa sacoche. mon autre main prit la fermeture éclair de mon long manteau noir et blanc d'exorciste. une croix scintillait à mon torse. je glissai la fermeture jusqu'à mon cou, recouverte d'une longue écharpe orange. Oui je vais profiter de la vie, mais avant, je doit en finir avec ces akumas!

Mon histoire est longue à narrer, il y a beaucoup de chose qui sont beaucoup trop dur à dire ... C’est pourquoi je vais vous la raconter, comme elle me vient, sans réfléchir. Je ne ferai pas de belle phrase, l’Histoire n’a jamais besoin d’être enjolivée.

L’Homme est un incapable, un bon à rien envoyé sur Terre pour faire naître le malheur le long de son chemin. Ah si ! Il sait faire quelque chose, une seule, unique : se tuer. Il aime baigner dans son propre sang, épais et cramoisi, Il aime sentir son contact contre sa peau meurtrie. Cette espèce, notre espèce, tue lentement ses enfants les uns après les autres, laissant les instruments de torture se perfectionner au fil du temps. Est-ce par plaisir ? Une chose est sûre : l’Homme est un incapable.

« J’avais perdu foi en l’humanité. Je me demandais ‘Jusqu’à quand continuera-t-elle de s’entre-déchirer ?’ Je m’étais persuadé qu’en tant que Bookman, j’appartenais à une autre espèce, n’importe quoi ... »

Je m’appelle, actuellement, Lavi Bookman. Oui, car Lavi n’est pas mon vrai prénom, c’est le 49e que je porte, d’ailleurs, j’ai oublié mon nom authentique il y a bien longtemps. Ou plutôt renier. J’ai tout sacrifié, mes origines, mon ancienne vie, mes émotions afin de devenir l’héritier de Bookman, un membre de ce fameux clan, tapi dans l’ombre à observer les humains dans leurs plus horribles facettes afin de coucher leur Histoire sur papier. Mon encre, ce sont la bêtise des Hommes, c’est dans leur propre sang que je trempe ma plume comme le font les Bookmen depuis une éternité. Je possède une mémoire impressionnante, retenant le moindre petit détail me permettant de reconnaître, des années après, un objet que j’avais seulement aperçu et cette mémoire m’est très utile dans les nombreux voyages que mon Grand-père, -que j’aime appeler Panda- et moi entreprenons. Il m’a appris un tas de choses ! Les arts martiaux, la méditation, la médecine, ça me connaît ! Je ne fais pas parti de l’Histoire, je ne fais que l’écrire, regardant avec désintérêt ceux qui en sont éjectés au fil du temps. Les Bookmen sont impartiaux et ne prennent jamais part lors de conflits. C’est ce que je suis, enfin ... Ce que j’étais car depuis notre entrée à la Congrégation de l’Ombre en tant que simples observateurs, tout a changé. Je ne suis plus le même, je suis le 49e moi après tout, mais je suis complètement différent et Panda le sens bien. Je me suis fais des amis, auquel je tiens plus que tout au monde maintenant. Allen, Kanda, Lenalee, Krory ... Pourtant, mon sourire pour eux n’était qu’illusion, je ne devais qu’obtenir leur confiance. Je suis désolé, Panda, j’ai failli au rang de Bookman ... Mais quoiqu’il arrive, je vous protégerai tous, et j’écrirai notre histoire, même si je dois user de mon propre sang comme encre.

« ‘Lavi’ ... Mon 49e nom d’emprunt. J’ai porté autant de faux noms que j’ai vus de batailles. ‘Les dessous de l’Histoire’ ce sont ces faits non répertoriés, exclus de l’Histoire des Hommes, que nous couchons sur le papier, pour la mémoire des Âges ... ‘Connaître ce que personne ne connaît.’ Cela avait suffit à me convaincre de devenir ‘Bookman’. Cependant ... »

Je me souviendrai toujours de ce fameux jour où nous avons rejoins l’Organisation ... C’était le commencement du nouveau moi, peut être le dernier. Notre but était le même : noter, observer la guerre qui opposait les Humains au Diable. Le chemin jusqu’ici avait été long et épuisant. Nous étions accablés par la fatigue, cependant la journée était loin d’être finie. Mes yeux, d’un vert profond, se baladait avec lassitude sur le paysage, j’étais plongé dans mes pensées.

« Qu’y a-t-il Lavi ? Lavi. Lavi ! ... Dick ?
- Hein ? »

La transition entre nos différents nous sont toujours compliqués, il faut se réhabituer à un nouveau nom, une nouvelle personnalité et pour moi, comme toujours, cela avait été particulièrement difficile. Grand-père avait trouvé la solution, plutôt désagréable, mais efficace : me frapper à chaque erreur, me faire comprendre que je devais changer si je voulais accomplir ma perpétuelle mission. Dick n’était plus mon nom et ne le serait plus jamais. Dick était mort. J’étais un autre maintenant.

« Aaaïe ! ! Ca fait mal ! Qu’est-ce-qui te prend, vieille peau ?
-Imbécile, je t’avais dit de rester vigilant ! Ton nom c’est Lavi maintenant ! Concentre-toi ! L’endroit où nous devons nous rendre n’a rien à voir avec ce que tu as connu jusqu’à présent.
-... Et on va où comme ça ?
-Dans une organisation militaire dépendant directement du Vatican et qui lutte contre les Akuma. La Congrégation de l’Ombre. Et donc à partir de maintenant, nous sommes des exorcistes. Nous enregistrons tout ce qui a trait au combat des Hommes contre le Diable, cette obscure face cachée de l’Histoire. »

Par chance, nous nous étions révélés des compatibles avec l’Innocence, ce qui avait aidé notre entrée. Quelle chose bizarre que ce cube envoyé par Dieu! Nous avions maintenant, en plus de notre mémoire infaillible, de supers pouvoirs ! J’étais vraiment excité rien que d’y penser, tenant mon arme, étant de type équipement. C’était un maillet, le plus beau d’entre tous à mes yeux. Il me fallait apprendre à le maîtriser et à en faire une arme redoutable. Mes prunelles émeraude pétillaient de joie mais Panda me fit rapidement comprendre qu’il fallait que je me calme grâce à une légère tape sur la main. Mes paupières me plongèrent dans les ténèbres pendant un court instant avant de révéler des prunelles neutres de toutes émotions. Nous ne serions pas exorcistes pour toujours, un jour ou l’autre, nous devrions abandonner notre Innocence. Lorsque cette guerre serait finie, lorsque le temps d’écrire serait venu ou lorsque nous devrions partir observer bien d’autres choses.

Nous sommes ainsi arrivés dans le bâtiment énorme qui serait notre nouveau ‘Chez nous’. C’était assez étrange comme sensation, un peu stressant aussi, un léger sourire m’échappa mais Panda me jeta un regard noir. J’étais beaucoup trop émotif ... Mon corps se raidit lorsqu’un certain Komui Lee nous accueillit, sans dire un mot, et je m’en souviens encore parfaitement, les flammes de ses yeux, rougis, étaient éteins par une profonde tristesse, son visage était pâle et l’on pouvait encore voir les traces de nombreuses larmes versées. Il nous fit rentrer, après s’être légèrement courbé devant nous, dans une salle immense, une odeur de produit désinfectant nous brûla les narines et Grand-père toussota légèrement tandis que de légers vertiges brouillaient ma vue.

« Je vous souhaite la bienvenue. Je suis Komui Lee, le chef de la section scientifique. »

Un sourire triste étira ses lèvres et il tendit la main vers Panda qui la serra avec compassion pendant que je fis quelque pas, me rapprochant d’une rambarde. C’est alors qu’une vision épouvantable s’offrit à moi. Panda se rapprocha, posant sa main sur mon épaule, et même lui ne pu garder une expression neutre.

*Tous ces cercueils ... Nous arrivons au beau milieu de funérailles ? A vue d’œil, il y en a au moins 100. Et les survivants sont tous blessés. Le hall entier empeste l’antiseptique... Visiblement ... Ils ont essuyé une lourde défaite.*

Mon regard croisa celui d’une jeune fille brune, blessée, en pleurs. Je tournai la tête vivement, la main devant ma bouche, pris de nausées. Risquant un dernier coup d’oeil, j’observai l’infirmière qui obligeait la fillette à quitter l’immense cercueil où nous nous trouvions.
Komui Lee, après avoir jeté un regard terne vers la salle, nous guida enfin à notre chambre, nous souhaita une bonne nuit et nous laissa seuls, nous fuyant presque afin de cacher les larmes qui montaient peu à peu dans ses yeux. La chambre était assez grande, enfin, suffisante pour que deux personnes puissent y dormir. Une unique fenêtre située tout au fond apportait un peu de lumière sur le petit bureau collé au mur à gauche de l’entrée. De l’autre côté se trouvait des lits superposés, à l’échelle de bois noir, où y reposaient des draps blancs, purs. Après une telle vision, la fatigue nous avait complètement quittés et nous restâmes assis, côte à côte, silencieux sur le lit du dessous. Je fermais les yeux, ce n’était pas la première fois que Grand-père et moi assistions à ce genre de spectacle macabre mais c’était toujours difficile. Nous étions humains après tout et nous ne pouvions rester insensibles face à la Mort. Panda porta sa main à mon épaule, mes paupières se soulevèrent et je plongeai mon regard émeraude dans le sien, noir.

« Le voyage a été long, nous sommes tous les deux exténués, nous devrions dormir, Lavi. Oublie ce que tu viens de voir, comme tu le fais à chaque fois.
-... Ce que l’homme est capable de faire, d’endurer. Cette guerre qu’ils mènent contre le Diable va les mener à leur perte.
-Et nous serons là pour tout écrire. Lavi ... Ce n’est malheureusement pas la dernière fois que tu verras ça ...
-Je sais, je sais ...
-Bien. Reposons nous maintenant.
-Okay, Papy, mais à une condition.
-Laquelle ?
-Je prends le lit du haut. »

« Où que l’on se rende, ce sont des batailles, des batailles, et encore des batailles ... Une chose est sûre, la bêtise de l’homme est insondable. »

Je me suis révélé incapable de dormir, les images de toutes les horreurs que nous avions vues me hantaient, des cris de souffrances résonnaient dans ma tête. Je passai la nuit entière à regarder le plafond en écoutant la respiration de Panda. Les heures défilèrent lentement, trop lentement à mon goût. A notre ‘réveil’, Komui Lee était là pour nous accueillir.

« Bonjour. Vous avez passé une bonne nuit ?
-Oui, merci. »

Bien évidemment, ce n’était que mensonge et le chef de la section scientifique ne pu ne pas s’en apercevoir à la simple vision de nos visages pâles et de nos cernes qui habitaient nos visages tout comme le sien. Apparemment, lui non plus n’avait pas réussi à fermer l’œil.

« Je vais vous présenter la salle à manger, suivez moi. »

Nous le suivîmes en silence, observant les alentours, mémorisant le chemin. Puis, lorsque le chef de la section scientifique nous jeta un sourire puis ouvrit les grandes portes de la salle à manger, une certaine joie nous emplit. L’air y était chaud et l’ambiance conviviale, de nombreux scientifiques et exorcistes riaient aux éclats autour d’un repas brûlant. Nos jambes, se mouvant presque toutes seules, nous embarquèrent à l’intérieure. Nous reconnaissions chaque homme, chaque femme dont nous avions vu le portrait. Nous pouvions mettre un nom sur chaque visage. Panda me chuchota :

« Nous devrions nous mêler à eux, il nous faut leur confiance. Va parler aux gens de ton âge, »
-Mmm. »

Je pris mon plateau, excessivement rempli, et me dirigeai vers un jeune de mon âge. Je m’assis en face de lui, et il ne me lança aucun regard. Après quelques secondes, je finis par dire :

«Tu mange quoi ? Je peux goûter ?»
« La ferme. Dégage d’ici. »
La réponse ne pouvait être plus claire et direct. D’accord celui là est du genre grognon, et ce put se voir juste au regard qu’il me lança. Néanmoins ce ne fut pas suffisant pour me faire fuir, et têtu dans mon genre j’insistai. Pourtant il y a bien d’autres jeunes exorcistes dans la salle, mais c’est le brun qui a retenu mon attention.
« Mais enfin ! Je veux juste goûter !! »
« Dégage. Si tu me le fais répéter une troisième fois, je te tue. »

Tout ça pour de la simple nourriture ! Mais bon ca peut être très important pour certaine personne. Je notai donc ce petit détail. Ce garçon est égal à « moi pas partager mon manger ! ». Mais je me souviens qu’il me manquait un indice important. Le nom de cet exorciste aux cheveux long.

« Tu es un dur… Euh… C’est quoi ton p’tit nom ? »
« Je n’ai pas l’intention de faire ami-ami avec toi. Tu n’as pas besoin de le savoir. »
Encore une fois, je me fis jeter. Tout deux nous étions plus que têtu, et plus il me repoussa, plus je voulu en savoir sur lui. C’est au bout de longues minutes du même dialogue tournant en boucle qu’une voix se fit entendre a l’entrée de la salle à manger.

« Yû Kanda ! Au bureau du Grand Intendant ! Une mission t’attend ! »

Kanda… Yû kanda? Je compris pourquoi il n’avait aucune envi de donner son nom. Je fus tellement hilare que je ne pus m’empêcher de rire ouvertement de lui. Plié de rire, le doigt pointé vers lui, je m’exclamais entre deux fous rires.
-« Tu t’appelles Yû ?! Ahahahah !! Si je m’attendais à ça ! Yû ! Yû !! »
Là, je n’ai absolument rien compris. Mais vraiment rien. Pour je ne sais quelle raison, il s’était jeté sur moi avec son sabre à la main. Pourquoi ? Parce que je me suis moqué de son prénom, un peu excessif comme réaction non ? Néanmoins, ne voulant pas finir en lamelle, je fis de mon mieux pour retenir mon rire, qui s’entendit tout même dans ma voix tremblante sous la pression de l’hilarité.

- … Kanda. Je m’appelle Kanda. Retiens-le sale vermine si tu veux rester en vie.
- Mais c’est mignon, Yû !

Son regard perçant, empli de haine, me fixait et j’avalais avec peine ma salive. Heureusement une âme charitable vint me sauver en calmant d’une façon aussi surprenante que rapide Yû. Cette jeune fille, je l’ai vu aux funérailles. Lenalee je crois ? « Yû », parce que oui j’ai adopté ce prénom, rangea dans un geste rapide et précis son katana, se tourna rapidement, puis quitta la salle. Avant qu’il ne sorte je lui fis un dernier signe de main, et lança toujours amuser par ce prénom hors du commun.
- A plus, Yû !!

Je fus ensuite accueillit à la table de Lenalee ou se trouvait d’autres membres de la congrégation. J’appris rapidement à les connaitre. Et je ne peux nier la chaleur rassurante de leur accueil. Contrairement à tous autres lieux que nous avons visités, aux personnes que nous avons rencontrés, et malgré la guerre qui plane au dessus de leur tête, ils restaient tous chaleureux et souriant. Cet endroit gardait un semblant de joie, un sentiment d’être chez soi. Grand père et moi l’avons rapidement remarqué, et malheureusement cette chaleur me porteras préjudice en réanimant le cœur que je ne suis pas sensé avoir. J’ai fait tant de chemin pour devenir Bookman, et je me retrouve à présent coincé entre deux vouloirs. L’héritage Bookman, et mes amis.

Innocence : un Maillet nommé Ōzuchi Kozuchi
Taux de synchronisation :
Type : équipement
Descriptions physique :
Pouvoirs : Ce maillet peut grandir (満, ban) et s’allonger (伸, shin) au gré des commandes de Lavi. Malgré le changement de taille, le maillet garde le même poids, et la même maniabilité entre les mains de son ‘maître’. Celui-ci utilise souvent cette fonction afin de se déplacer, s’y accrochant et en faisant s’allonger son arme. (Attention l’atterrissage peut être parfois assez violent !). En plus de cette technique, Lavi peut utiliser des sceaux élémentaires de la Nature (écrits en Kanjis). Il utilise généralement le sceau du bois pour défendre et le sceau du feu pour attaquer.
Attaques :
Hi Ban: Gouka Kaijin : Lavi utilise le sceau de feu pour créer un torrent de flammes sous la forme d’unn serpent.
Ten Ban: Raitei Kaiten : Lavi utilise le sceau de Dieu pour générer un vaste orage d‘éclairs.
Moku Ban: Tenchi Bankai : Lavi utilise le sceau du bois pour contrôler des éléments dans la nature (les nuages, vent).
Konbo Ban: Gouraiten : Lavi utilise à la fois le sceau de feu et le sceau de Dieu pour créer un énorme serpent de feu et de fer. Il peut aussi créer un bouclier de type mur de flammes.

Certains sceaux n’ont pas encore été révélés et apparaissent comme des points d’interrogation entre les autres différents sceaux. Lavi a donc encore à apprendre de son Innocence.

Bref descriptions de ce que tu es IRL.

Surnom :
Âge :
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